Je lisais récemment un article rédigé sur LinkedIn concernant une femme qui ne buvait pas d'alcool, et qui était fortement agacée de devoir se justifier de ce choix quasiment à chaque fois. (ce choix est, d'après les témoignages que j'ai pu entendre, encore plus difficile à tenir pour un homme quarantenaire qui a en plus décidé de manger du poisson, ou pire, d'être végétarien).
Car oui, au pays du vin et du champagne, où la nourriture et les repas occupent une place privilégiée, ne pas boire appelle une justification. Tout comme ne pas avoir d'enfant. Ne pas rechercher un CDI. Etre en couple sans vouloir partager le même toit.
Je précise ici que je n'ai aucun avis, et si j'ai ma manière de vivre, j'estime que chacun mène la sienne comme il l'entend, à partir du moment où les conséquences de ses actes n'engagent que lui, et respectent autrui.
Le problème se pose avec les normes sociales. Nous sommes des êtres sociaux, et le besoin d'appartenance à un groupe fait que nous cherchons à nous conformer à ce qui est attendu du groupe.
Et c'est comme cela que nous en venons à renier nos principes ou nos envies, dans le but de d'avoir une identité sociale fidèle à celle du groupe.
Ce modèle s'estompe parfois, et il est de plus en plus admis, sous forme de tolérance affichée, de ne pas être en couple, d'avoir une sexualité différente, ou d'être étudiant à 35 ans. Mais cela entraîne moult justifications et explications, et cela dépend grandement des sujets concernés et des interlocuteurs, chacun ayant ses sensibilités et ses chevaux de bataille!
Cela peut rendre certains choix, certaines orientations difficiles lorsqu'elles vont à contre courant de la norme.
En cela, un accompagnement, notamment en hypnose, peut permettre de libérer vos freins, toujours dans le respect de vos idées et de vos orientations, afin que vous soyez aligné et en accord avec vous-même, tout en gardant le lien aux autres.
Une psychologue, qui était formée à l'hypnose, m'a dit qu'à force de porter un masque, je n'attirerai à moi que des personnes qui ressemblent au masque, mais pas forcément à moi.
Alors, prêt(e) à ôter le masque?
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